Après une première remarquée aux Rendez-vous Québec Cinéma et un fort premier week-end en salle au Cinéma Beaubien de Montréal, le film Première vague poursuit sa lancée et prendra l’affiche au Cinéma Le Clap de Québec et au Cinéma Pine de Saint-Adèle dès ce vendredi 21 mai. C’est une suite logique pour cette production de Kino Montréal qui continue de prendre le Québec par surprise !
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Réalisé par Max Dufaud, Kevin T. Landry, Reda Lahmouid et Rémi Fréchette, Première vague est une œuvre ambitieuse qui a été conçue, écrite et tournée au plus fort de la crise de la COVID-19.
12 mars 2020 : La COVID-19 vient d’être déclarée pandémie mondiale, c’est le début du confinement. Samuel, Fanny, Daniel et Marianne, quatre montréalais provenant de milieux très différents, doivent maintenant s’adapter à cette nouvelle réalité. Ce qu’ils croient être une situation temporaire, deviendra une longue épreuve qui changera leurs vies à jamais. Entre réalité et fiction, Première vague porte un regard sur les 100 premiers jours de la pandémie à Montréal.
Mettant en vedette Fayolle Jean Junior et Senior, Marie-Sophie Roy, Mathieu Lorain Dignard, Myranda Plourde, Hinde Rabbaj et Alexandre L’Heureux, Première vague est l’incarnation parfaite de la devise du mouvement Kino: “Faites bien avec rien, faites mieux avec peu, faites-le maintenant”.
Initié en avril 2020 par Jarrett Mann, directeur général et artistique de Kino Montréal, au moment où tout le Québec est en confinement, Première vague a été produit suite à un appel de cinéastes lancé le 12 mai 2020, pour la réalisation d’un film choral avec comme objectif de créer un portrait des 100 premiers jours de la pandémie. Les quatre cinéastes retenus étaient chacun responsable d’une sous-intrigue du film. Ces derniers ont dû écrire sur un sujet historique toujours en cours, et le tourner en un temps record. Fin juillet, à peine quelques semaines après l’autorisation de la reprise des tournages par le gouvernement, Première vague est tourné, sous des contraintes sanitaires très strictes. Chaque cinéaste a eu seulement 4 jours pour tourner son segment. Au total, ce sont plus de 60 personnes, toutes bénévoles, qui ont contribué à ce premier long métrage produit par Kino Montréal.
